On retrouve Manu Galure (sur la scène de l'Esapce 110 à Illzach) toujours aussi électrique, toujours aussi fou, qui joue du pied, du coude et qui grimpe sur les pianos, mais installe avec délicatesse, entre deux instants de fracas, une douceur et une tendresse qu’on ne lui soupçonnait pas. Lire la suite...